C’est le titre d’une chanson de 1977, je devrais plutôt employer le mot tube, de Patrick JUVET. C’est aussi la question qu’on peut se poser à propos des primaires de la gauche et plus généralement à propos des prochaines élections présidentielles.
Pour les primaires de la Belle Alliance Populaire, si on se fie à l’actualité, il n’y aura aucune candidate à la candidature.
Dans son discours d’abdication ou de capitulation, François HOLLANDE a évoqué, dans l’exposé du bilan de son quinquennat, un progrès dans la parité et l’égalité hommes-femmes. Apparemment, le P.S. et ses alliés n’ont pas cru bon d’en faire la démonstration. Au lieu de cela, a surgi la candidature « essentielle » d’une troisième voie incarnée par Vincent PEILLON dont le seul talent avait été jusqu’alors de se faire oublier.
L’horizon politique féminin se situerait-il uniquement aux extrêmes avec Marine LE PEN représentant le Front National et Nathalie ARTHAUD pour Lutte Ouvrière ? Charmant.
La politique en France serait-elle une question trop sérieuse pour être confiée aux femmes ?
En attendant, jusqu’au scrutin présidentiel, nous aurons droit aux mines réjouies et sur médiatisées de FILLON, VALLS, MELENCHON et consorts. Quel bonheur !
Où sont les femmes….
Gabriel BERARD